Voilà ce qui arrive quand on s’intéresse de trop près à la prose de ses plus estimés confrères, parfois à la fin… on les jalouse. C’est ce qui m’est malheureusement arrivé après la lecture du dernier article que Michel de Lorgeril (1) a posté sur son blog, où d’ailleurs tout le monde devrait se donner rendez-vous au moins une fois par jour pour plus se détendre et mieux s’instruire. Il ne m’en voudra pas que je veuille à mon tour me saisir de sa si belle trouvaille .. Bonne lecture.

 

L’objet de cet article provient du fait que Michel a redonné vie à un rapport de l’ANSM en date de juin 2019 que personne évidemment n’a lu, un « travail », ou tout du moins une production qui s’annonçait de la façon suivante: (2)

ANSM, Synthèse: présentation

Attention! Pour les lecteurs pressés il en existe une déclinaison lapidaire en forme de dépliant encore plus publicitaire que celle-ci et qui tient sur deux pages, où l’on en apprend encore moins que dans la version de synthèse, elle est là (3), le rapport complet est  ici (4) mais nous parlerons évidemment des trois documents. Au passage nous remarquons que la fameuse synthèse est datée de Juin 2019 et qu’il a donc fallu un an à notre rédacteur anonyme pour réussir à pondre un rapport aussi scientifiquement vide d’intérêt. On l’imagine appartenant probablement au groupe des Juillettistes et qu’il a souhaité au dernier moment se mettre à jour de tous ses dossiers en cours afin de pouvoir légitimement profiter sans contrainte intellectuelle trop pesante de son droit au farniente estival…

Tenter une comparaison inepte pour déférer à son Etat-employeur

Il s’agissait donc de « dresser un bilan de l’ensemble des cas événements ou d’effets indésirables notifiés au système national de pharmacovigilance avant l’extension de l’obligation vaccinale » (6) puis de les comparer à « tous les cas notifiés événements ou d’effets indésirables au système national de pharmacovigilance au cours des six premiers mois de l’extension de l’obligation vaccinale« . (sic)

Bon. Admettons. L’ANSM souhaite, ou dit souhaiter évaluer l’augmentation éventuelle des effets secondaires depuis la promulgation de l’obligation vaccinale géante de 2018, l’idée paraît séduisante. Donc nous parlons bien de comparaison de fréquence d’effets indésirables (EI)  post-vaccinaux même si l’ANSM s’en défendra  entre deux populations d’enfants que l’on pourrait comprendre ainsi:

– Une première cohorte (C1) d’enfants de 0 jour à 6 ans qui a reçu une quantité inconnue d’injections vaccinales (entre 0 et 10)  pendant six ans: Forte de 800.000 naissances par an pendant 6 ans, soit 4.800.000 bébés,
– Une deuxième cohorte (C2) d’enfant de 0 jour à 6 mois  qui a subi l’obligation vaccinale de manière administrative (entre 0 et 5 injections) sans la moindre science ni conscience, intéressant seulement une demi-année calendaire soit théoriquement  400.000 enfants.

On est tenté de voir les choses de manière aussi claire mais le mode d’observation retenu par l’ANSM induit un biais maximal car il existe un groupe enfoui que l’on pourrait appeler « les C1-C2 » à savoir tous les enfants nés en C1 et chez qui on diagnostiquera un EI pendant la période C2. Des cas importés de C1 venant « polluer » les données propres à C2, en quelques sortes et qui pourraient la polluer très sérieusement…

On aurait préféré que l’on nous renseigne sur ce qui fait vraiment le but de la vaccination, est-ce que la morbi-mortalité infantile diminue encore depuis l’obligation vaccinale géante, ne rêvez pas car on préfère essayer de répondre à autre chose, est-ce que les enfants sont plus malades depuis qu’on les vaccine beaucoup plus, affreux signe des temps…

On rappelle le calendrier vaccinal obligatoire qui frappe les seuls bébés français depuis 2018 et que tous les pays du monde ont soigneusement choisi de ne pas copier: (3)

Calendrier vaccinal Mars 2019 p.44, extrait

Nos bébés C2 nés entre le 1er Janvier et le 30 Juin 2018 ne sont donc concernés que par les seuls vaccins qui sont inoculés à leurs âges, nous sommes bien d’accord (encadré rouge). En aucun cas pour les vaccins injectés aux « vieux bébés »  de plus de six mois qui ne les concernent théoriquement pas à savoir la vaccination contre la rougeole, la rubéole et les oreillons évidemment. (entouré en rouge)

Regardez pourtant ce que notre adepte des premières chaleurs estivales ose écrire:

ANSM, Les vaccins étudiés

Vous avez bien lu, l’ANSM ne va pas hésiter à comparer les EI liés aux vaccins ROR entre C1 et C2 alors que les vrais C2 (nés entre le 1er Janvier et le 30 Juin 2018) n’y seront exposés que des mois plus tard!

Il y a pire, reprenons la vie de ces premiers bébés C2 nés en 2018 et tentons de décompter le nombres de vaccins administrés en fonction de leurs mois de naissance:

Tableau 2- C2 nés en 2018, nombre d’injections par enfant et temps de surveillance

Comme on le voit sans peine:

– 16% des enfants de C2 (ceux nés en Janvier) auront reçu 5 vaccins (soit certainement bien moins que dans le groupe C1) avec un temps de surveillance d’effets post vaccinaux oscillant entre  0 et 4 mois,
– 50% des enfants (nés entre Février et Avril) recevront entre 2 et 4 vaccins pour des surveillance d’effets post vaccinaux compris entre 0 et 3 mois,
– 33% des enfants (nés en Mai et Juin) n’auront même pas reçu le moindre vaccin mais on surveille leurs effets post vaccinaux quand même.
– En comparaison, la cohorte C1 a reçu une dizaine de vaccins avec une surveillance post vaccinale comprise entre 0 et 70 mois.

Nous voilà bien! Notre déjà maigre groupe C2 vient brutalement de se voir amputé d’un tiers de son effectif, il ne reste plus que 266.00 bébés sur les 400.000 de départ. L’ANSM va inclure des enfants non vaccinés dans la surveillance des effets post-vaccinaux, je rappelle à tous l’histoire des souris de Bernard Guennebaud, notre terreur des statistiques bâclées : « Quand on veut étudier la durée de gestation chez les souris on ne sélectionne pas de spécimens mâles ou des souris non fécondées« .

Chez les médecins amoureux de leurs métiers et plus respectueux de leurs missions de soins que de leurs prétendues obligations administratives, une question les taraude tous les jours: Est-ce que l’état de santé de nos bébés pourrait se dégrader au fur et à mesure que l’on augmente le nombre d’injections vaccinales? Ne rêvez pas! l’ANSM n’a aucune envie de répondre à cette question.

De plus notre estival scientifique d’Etat ne craint pas de nous fournir ces deux informations cruciales concernant le groupe C1, d’apparence anodine:

ANSM, extrait

Le diable se cache dans les détails, ainsi à l’ANSM on reconnaît une délai moyen d’apparition des effets secondaires post-vaccinaux à 4 semaines, du dernier grotesque quand on sait que la plupart des études de firmes  recueillent leurs données d’effets indésirables sur moins de sept jours et que les critères de mise en responsabilité des vaccins viennent d’être considérablement durcis. (7)

Ne cherchez surtout pas le nombre d’EI par cas déclarés dans le groupe C2, afin que personne ne soit tenté de les comparer il n’apparaît dans aucune des trois déclinaisons de ce rapport.

Corollaire évident, rendre ce résultat de date de survenue d’EI en délai moyen et non médian (donc sans donner la distribution des EI dans le temps) nous interdit de situer exactement quand ces EI sont le plus souvent diagnostiqués; Nous verrons plus loin que la réalité de ces délais demeure consternante, je crains que notre infortuné plaisancier de l’ANSM ne se retrouve rapidement sur le sable s’il continue à accumuler les boulettes de ce calibre.

Effets secondaires (EI), classification ANSM

Etape importante du sujet, séparer les EI entre les graves et les non graves.

Nous apprenons que par exemple de manière officielle en France le syndrome des cris/pleurs persistants, les poussées fébriles, les vomissements ne sont pas à considérer comme des réactions encéphalitiques sévères et graves.

Je vous laisse à nouveau prendre connaissance de l’opinion des médecins de l’AIMSIB à ce sujet. (7)

Passons à l’examen des EI sévères qui nous sont présentés et une classe apparaît, surprenante, celle des « Évènements indésirables sensibles ». Mais sensibles pour qui, pour la Presse indépendante qui a disparu, pour les parents, les médecins, les adhérents de l’AIMSIB, ou alors sensibles surtout pour  les autorités sanitaires qui refusent depuis toujours la moindre imputabilité des vaccins dans la genèse de toutes ces pathologies? Sortez-les par la porte et ils reviendront par la fenêtre, vous le verrez bientôt.

ANSM, EI d’intérêts particuliers

Notre Juillettiste s’est bien fendu d’un chapitre embarrassé sur les décès suspects de la cohorte C1, où tout et son contraire peuvent se comprendre, ici:

ANSM, fragment

Du plus grand incompréhensible, que veut dire notre amoureux des parasols avec ses « … lourds antécédents ou affections sévères pouvant expliquer l’issue fatale », que les vaccins obligatoires auraient eu chez eux un effet « balle dans la nuque »?

Qu’attend-on pour lever le doute et lancer une étude épidémiologique sérieuse et urgente sur le sujet de la pertinence de la vaccination chez les enfants neuro-immunologiquement fragiles?

Pour le reste, ne rêvez pas! Plus rien de la liste « sensible » ne sera divulgué dans les deux documents de synthèse, quant aux chiffres pitoyablement bas évoqués dans le rapport complet nous ne pouvons qu’exprimer nos plus grands doutes quant à leurs sincérités en commençant naturellement par l’exhaustivité de ces listes.  De la science d’accord à l’ANSM, mais tout de même pas aller jusqu’à de la transparence.

Réfléchir à cette comparaison inepte pour finalement partir à la plage

  • On l’a bien compris, C1 est constitué d’une énorme hétérogénéité de plus de quatre millions de bébés dont on ne sait ici à peu près rien (sauf qu’ils auraient été exposés à 38 millions de doses vaccinales mais on ignore qui en a reçu combien).
  • C2 constitue une cohorte microscopique chez laquelle il faut en plus déduire un tiers d’enfants non vaccinés et où très souvent les fenêtres d’études sont refermées avant que tous les effets secondaires aient le temps de se déclarer, c’est même l’ANSM qui le dit, mais chez qui il faut rajouter une proportion inconnue d’EI émanant de C1.

Donc, notre adepte du matelas pneumatique sent le piège se refermer sur son clavier : A tenter une règle de trois facile puisqu’il a comme nous tous les chiffres il risque d’abord de se retrouver attaqué de toute part pour ne pas avoir chassé tous les monstrueux biais de son étude (qui en est tout sauf une), puis il risque de mettre à jour un rapport de comparaison d’effets secondaires difficile à expliquer.

Alors après un avant-dernier satisfecit, une sobre énonciation des cas d’effets secondaires dans les deux groupes, re-satisfecit et fermez le ban, tout le monde retourne à la plage!

ANSM « version courte » p.2

Les chiffres délivrés par l’ANSM débouchent sur une conclusion d’une stupidité sans comparaison et voilà pourquoi notre amateur de château de sable a senti qu’il valait mieux s’arrêter: Il était au bord de faire tomber une honte sur l’ANSM que même le départ de ses dirigeants n’aurait pas suffi à faire oublier et nous allons voir dans quelques instants que selon toute probabilités ses chiffres sont, en plus, bidonnés.

De toute façon on s’en fiche, des effets secondaires

Ce titre pourrait vous paraître imbécile et il l’est mais il reflète hélas la triste réalité des pays qui pratiquent l’obligation vaccinale. Qu’importe que par exemple la FDA américaine ait émis récemment un avis de contre-indication à la vaccination concernant de larges catégories de bébés, (8) la France n’écoute personne!

Qu’importe les EI puisque de toute façon on va commencer la vaccination obligatoire de tous les bébés de notre pays à une date administrativement fixée d’avance, quels que soient leurs états de santé et antécédents héréditaires, et que l’on va poursuivre le protocole vaccinal quels que soient les effets indésirables rencontrés.

Voici l’histoire vraie d’un petit garçon de Seine-et Marne né en Juillet 2017 et qui a reçu à 4 mois dans la matinée un Prevenar© 13. Le soir il tombe dans un coma profond puis est transporté à l’Hôpital par les Pompiers en secteur de réanimation pédiatrique. (9) Un fois réveillé et après de nombreux essais infructueux pour attribuer cet accès neurologique à autre chose, un des pédiatres hospitaliers convient oralement auprès de sa mère que le vaccin du matin devait en être la cause. Le cauchemar commence maintenant pour la famille. Ce confrère propose, vu l’effet secondaire produit par le premier des trois Prevenar©,  de poursuivre systématiquement le protocole vaccinal en secteur hospitalier. Effarement bien compris de la mère qui court alors chez le médecin ayant vacciné son bébé pour obtenir un certificat de contre-indication définitif à la vaccination. Refus net de celui-ci, « parce que je n’ai pas envie d’avoir des ennuis avec le Conseil de l’Ordre » mais aussi refus  de signaler l’effet secondaire à la pharmacovigilance (surtout ne pas passer pour un médecin anti-vaxx), ce que la maman réalisera elle-même… Puis elle portera plainte à l’Ordre contre ces deux médecins… L’histoire se poursuit toujours.

Vous doutez encore de ce qu’une administration imposant la vaccination obligatoire est capable de broyer la médecine et les enfants qu’on lui confie? Voici un témoignage administratif qui en dit long, tiré du rapport complet édité par l’ANSM elle-même:

ANSM, rapport complet p.23

Handicapé à vie mais en règle!

On rappelle que le signalement passif des EI (attendre que quelqu’un veuille bien les signaler) est sous-évalué d’un facteur 10 à 100 au moins par rapport à la réalité, et que dans une étude que nous avons déjà commenté (10) cette sous-évaluation a été démontrée comme pouvant atteindre un facteur 400 par rapport à une recherche active.

Dernier retour sur notre rapport de synthèse, cette fois-ci sur la plaquette publicitaire, dernier paragraphe:

ANSM, fragment

Voilà qui appelle donc trois commentaires:

1- Tout est sous contrôle, passez un bon été, pas un mot des « EI sensibles » dans deux des trois documents,
2- Les effets secondaires post vaccinaux sont si bénins que le signalement à la pharmacovigilance pourrait confiner à la perte de temps pour tout le monde, famille, médecins comme agences,
3- Les effets secondaires vaccinaux sont toujours transitoires, alors pourquoi s’affoler?

Mais aussi une dernière réflexion de bon sens, pardon à notre porteur de paréo mais comment peut-il expliquer que les EI soient qualifiés de transitoires, connus et bénins ( réaction locale, urticaire, diarrhée…) alors que quelques lignes plus haut il décrit un délai moyen d’apparition des EI égal à 27,7 jours? Veux-t-il nous expliquer que les bébés ne se démangent aux sites d’injections, voire ne déclarent leurs petites diarrhées que 27,7 jours après leurs vaccinations? Quels sont les très nombreux EI non décrits qui « tirent » ce délai d’apparition aussi loin dans le temps pour « effacer » les très nombreux EI qui se déclarent quasi-immédiatement juste après vaccination?

Dernier mensonge dévoilé, les vaccins déclenchent des EI transitoires  et bénins alors qu’ils sont diagnostiqués un mois (en moyenne) après leurs administrations.

Je propose que notre plagiste reste définitivement sur son littoral pour y débuter une seconde carrière plus près de la nature.

Conclusion

En tant qu’Aoutien de longue date, je me devais de taquiner gentiment notre Juillettiste. Ce qu’il a écrit méritait au moins deux articles de réprobations maximales, voilà le second.  La vaccination obligatoire française est une idée immonde comme notre pays sous influence a réussi à en produire peu en quelques siècles, qui entraîne des comportements absolument répréhensibles et parfois révoltants chez tous les intervenants:
Les politiques doivent nier la toxicité de certains vaccins pour n’avoir jamais à admettre leurs erreurs d’analyses initiales,
Les agences gouvernementales évidemment aux ordres ( l’ORTF, avant) désinforment à tour de bras les populations et les médecins pour complaire aux politiques,
Les journaux médicaux relaient les messages publicitaires de leurs annonceurs vendeurs de vaccins,
Les familles partent faire vacciner les carnets de santé de leurs enfants à l’étranger ou dans des photocopieuses couleur,
Les médecins taisent ce qu’ils voient ou comprennent de leurs actions pour ne pas subir les foudres…
Des conseils ordinaux qui du coup redeviennent ce pour quoi ils avaient été créés à l’origine.

Tout un pays vit de travers et demain toute confiance envers les politiques et les médecins sera irrémédiablement détruite.

Rassemblons nos forces, regroupons-nous à l’AIMSIB! Chaque Confrère doit pouvoir engager une réflexion sereine avec ses pairs, chaque parent doit pouvoir transmettre cet article à son médecin. Souhaitons que chaque membre de Conseil Ordinal s’interroge sur ce que les politiciens et les firmes leur demandent d’exécuter pour eux.

Pour finir laissez-moi vous dire que je suis quand même d’accord avec notre juillettiste sur un sujet et un seul, même si je suis certain qu’il n’en croit pas un mot et que le principe de la notification spontanée des EI ne sera jamais le meilleurs outil pour les mettre à jour:

 

PS: Le Docteur Vincent Reliquet remercie Le Vigilant ainsi que Bernard  Guennebaud pour la pertinence de leurs remarques et la qualité de leur aide.

 

Sources:
(1) https://michel.delorgeril.info/ethique-et-transparence/encore-une-petite-entreprise-officielle-de-propagation-dinfox-mais-dans-le-domaine-des-vaccins-cette-fois-ci/
(2) https://www.ansm.sante.fr/content/download/162747/2128851/version/1/file/Synthese_rapport_vaccins_juin2019.pdf
(3) https://www.ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/913059d84ab266f1fbe56358bec6bab5.pdf
(4) https://www.ansm.sante.fr/S-informer/Points-d-information-Points-d-information/L-ANSM-publie-un-rapport-qui-confirme-la-securite-des-vaccins-obligatoires-pour-les-enfants-de-moins-de-2-ans-Point-dInformation
(5) https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/calendrier_vaccinal_maj_17avril2019.pdf
(6) Période de référence retenue par l’ANSM,1er janvier 2012 au 31 décembre 2017.
(7) https://www.aimsib.org/2019/03/31/les-six-precautions-preconisees-par-laimsib-pour-la-vaccination-des-nourrissons-mars-2019/
(8) https://www.cdc.gov/vaccines/hcp/vis/vis-statements/mmr.pdf
(9) L’ensemble de ce dossier a été étudié par l’aimsib à la demande d’une association de défense des victimes des accidents post-vaccinaux
(10) https://www.aimsib.org/2018/12/31/vaccinations-obligatoires-2018-cest-bientot-fini/

 

 

 

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