Notre jeune Association perd pour la première fois l’un de ses membres… Et c’est Michel Georget, l’un de ses plus attachants personnages, l’un des ses plus érudits, qui nous quitte au terme d’une maladie harassante ayant eu raison de son obstination à vouloir rester parmi nous. Ce texte se devait d’être rédigé par le Docteur Michel de Lorgeril qui l’avait initialement approché pour nous et qui continue aujourd’hui à faire vivre trente ans de son travail à travers ses publications actuelles. Nous adressons toutes nos pensées à sa très gentille épouse ainsi qu’à Anne sa fille dont les qualités professionnelles pourraient nous faire penser que celles-ci seraient héréditaires. A tous ses amis, ses proches et ses innombrables élèves attristés à travers le monde, courage. Montrons-nous tous dignes de Michel Georget. Tous les témoignages de sympathie peuvent être déposés dans les commentaires à l’issue de cette lettre.
Je m’en souviens, comme si c’était hier, de ce jour de Congrès au Parc Floral de Vincennes où j’ai entendu Michel pour la première fois exposer quelques éléments de vaccinologie à un public peu spécialisé.
J’étais moi-même déjà quelque peu averti de la problématique vaccinale moderne (et de sa complexité scientifique et médicale) et c’était plus avec de la curiosité que dans l’espoir de m’instruire solidement que je m’étais installé dans la salle du Parc Floral pour écouter Michel. D’autant plus que c’était en début d’après-midi, un moment (les jours de congrès) où on aspire à un peu de repos, voire une petite sieste en position assise.
J’étais quelque peu averti car j’avais beaucoup travaillé (et publié) sur la transplantation cardiaque, une situation clinique qui nécessite une bonne connaissance du système immunitaire. Je connaissais évidemment les conséquences de la greffe de cœur (un puissant stimulus du système immunitaire) et aussi du traitement immunosuppresseur qui, comme son nom l’indique, provoque une forte inhibition du système immunitaire, et des inéluctables complications infectieuses. J’ai beaucoup travaillé la vaccination depuis cette époque, mais je n’étais déjà plus un amateur ; d’autant que comme médecin traitant [la médecine des vaccins est du ressort de la médecine générale], j’avais aussi pu constater les échecs de la vaccination et ses complications. J’étais donc averti et déjà sceptique.
Après moins de 5 minutes d’écoute de Michel, j’ai compris à quel point j’étais naïf et inculte ; et je suspectais immédiatement combien j’avais pu être désinformé, voire trompé, par l’enseignement académique et les propagandes institutionnelles et commerciales, intimement liées. Quelques phrases et quelques graphiques de Michel et la médecine vaccinale soudainement s’éclairait d’un jour nouveau.
Ce n’étaient pas les données chiffrées elles-mêmes, présentées sobrement par Michel, qui me frappèrent, c’était le mode de raisonnement : pour la première fois, on me montrait les choses telles que j’aurais dû les voir, moi physiologiste au CNRS et auteur de plus de cent publications en épidémiologie clinique. J’étais à la fois stupéfait et, je l’avoue, humilié. Comment avais-je pu passer à côté de telles évidences ?
Certes, mon scepticisme systématique [qu’est-ce qu’il raconte ce Michel Georget qui n’est ni médecin ni chercheur ?] a repris le dessus. Mais je n’ai pas raté une phrase de sa conférence (pas de sieste) et sitôt la conférence terminée, je me suis précipité à l’une des librairies présentes sur le site du congrès ; et je me suis procuré deux des livres de Michel.
Dans la semaine qui suivit, j’ai épluché les données, notamment les graphiques, publiés par Michel ; je les ai vérifié systématiquement, je suis remonté aux données sources via Internet et j’ai dû admettre l’évidence : je n’ai trouvé aucune erreur, aucune exagération, aucune interprétation douteuse.
Et j’étais choqué !
Ainsi donc, depuis des décennies, on vaccinait en dépit du bon sens. L’heure était venue de résister. J’ai immédiatement communiqué mon étonnement à d’autres membres de l’AIMSIB et comme on pouvait s’y attendre, il n’a fallu que quelques semaines (les livres de Michel Georget aidant) pour que se dégage une vraie unanimité parmi nous. Il n’y avait aucun doute possible : entre la parole ministérielle et académique et celle de Michel Georget, la deuxième était prépondérante.
L’AIMSIB étant une association bienveillante (donc respectueuse de ses opposants) et prudente, nous avons pris notre temps, nous avons travaillé, nous avons invité Michel Georget comme invité d’honneur à notre Congrès annuel à Lyon, et nous l’avons longuement questionné. Au temps où il n’était pas trop fatigué, nous lui demandions souvent son avis ; et nous nous sommes toujours félicités de ses conseils et commentaires.
Nous avons encore besoin de lui. Je n’écris pas une ligne d’un nouveau chapitre de mes livres sans consulter d’abord les textes de Michel Georget, pour vérifier mes idées initiales et aussi comme pour préparer mon envol.
Il va nous manquer comme expert bien sûr, et comme ami aussi, bien que le temps fut trop court entre le moment où nous avons découvert ses travaux et publications et le moment de son départ.
Et tant de regrets aussi, car il y eût tant d’années où il fut si seul face à une armée de stupides propagandistes ; il nous l’a dit, il avait dû parfois subir des agressions de militants vaccinalistes hystériques ; et nous n’étions pas là pour le protéger.
Merci, Michel, de nous pardonner nos absences et inattentions. Merci pour tes présences constantes pour nous protéger, les bébés, les adultes et jusqu’aux séniors !
Et une promesse : nous allons continuer ton travail de déchiffrement et de conscientisation, tu n’auras pas œuvré pour rien !
Dr Michel de Lorgeril pour le Comité Médical de l’AIMSIB, 21 Mars 2019
Revoir Michel Georget en conférences :
Remerciements particuliers à Carole Prost et à Augustin de Livois qui tous deux vous proposent un visionnage gratuit de leurs archives pour la circonstance, qu’ils en soient chaudement remerciés.
Congrès IPSN 2015, « Apport de la vaccination à la Santé Publique »
Conférence ASN de Juin 2018, Aix les Bains, « Des vaccins standards pour des individus tous différents »,
« HLA et vaccination », Congrès AIMSIB, Janvier 2018
Relire Michel Georget, derniers articles et derniers livres
Nexus
-> « Michel Georget rejoint l’aimsib », Janvier 2017
-> Françoise Joet, Michel Georget, Dr Vincent Reliquet, « Pertinence de la vaccination anti-tétanique », Avril 2017
Ouvrages
Quel hommage ! Merci Michel et merci Michel de L. J’en suis émue et me sens à l’unisson.
Sa disparition me renverse à un point que je n’avais pas anticipé, en deux ans j’avais réellement pris l’habitude de travailler, de le côtoyer et d’échanger régulièrement avec lui.
Je me souviens bien du 9 Septembre 2017, il était déjà dans le dur de sa maladie. Le matin d’une manif anti obligation vaccinale à Paris une délégation d’organisateurs dont Michel Georget fut reçue au Ministère de la Santé par un vague conseiller de permanence. Avec son flegme et son calme habituel il déroula posément l’absence coupable de pharmaco-vigilance réelle autour des vaccins en France laissant 90% à 99% de leurs effets secondaires graves parfaitement méconnus. Il expliqua aussi que les vaccins étaient dispensés d’études de cancérogénicité comme d’éventuels effets malformatifs même quand ceux-ci interféraient avec la sphère urogénitale, il relata longuement le rôle prépondérant du système HLA qui pouvait entrainer une réponse immunitaire nulle, correcte ou catastrophique en fonction des produits injectés, il mentionna aussi le peu de certitudes quant à l’efficacité réelle de certains vaccins, et aborda la toxicité plus que probable d’une adjuventation quasi-systématique par des sels d’aluminium. Réflexion horrifiée sans filtre du conseiller qui s’apprêtait à tomber de sa chaise: – » Eh bien dites-donc, Professeur, heureusement que la population n’est pas au courant de tout ça sinon personne n’accepterait plus jamais de se laisser vacciner »!
En Juin dernier nous avions été invité ensemble à Aix-les-Bains, chacun dans son domaine de prédilection. Au lunch du soir il était rayonnant au bras de sa très gentille épouse, sourire entier, léger bronzage sur chemise à manches courtes, nullement fatigué par une longue station debout. Du coin de l’oeil je l’examinais discrètement à la recherche de signes persistants de sa maladie mais hormis ses cheveux un peu plus rares il était magnifique de forme, d’appétit, du coup nous avions bien travaillé le pâté de campagne et le Champagne du buffet. C’est sûrement les bulles qui m’ont bêtement poussé à lui demander s’il pensait qu’il était définitivement guéri. Ma question con ne l’a nullement surpris et il m’a répondu immédiatement que non, qu’à son âge on ne croyait plus aux fariboles mais qu’il pensait en avoir suffisamment « sous le pied » pour passer un bon été.
A Lyon plus tard je m’étais mis en tête de me faire dédicacer un de ses livres, après m’avoir regardé avec surprise il m’a dit: -« Tu ne vas pas me demander une gaminerie pareille? » alors je lui ai répondu qu’il fasse plutôt gaffe à ne pas faire de fautes d’orthographe sur mon patronyme, mes enfants seront fiers de nous plus tard. Il a ri, il a réfléchi et il m’a écrit un commentaire retenu et très gentil.
Un matin de Janvier j’ai compté le nombre de mail que je lui avait envoyé et qui restait sans réponse, j’ai repensé à sa prédiction de juin. Pour savoir définitivement je lui ai envoyé un dernier mail bidon avec la mention »urgent » et comble de l’impolitesse affublé d’une demande d’accusé de réception. Encore le silence. J’ai bien compris que si Michel Georget ne lisait plus et n’écrivait plus, c’était que notre vieux sage était rentré dans le très dur de sa fin de vie.
Tous les médecins du monde devraient avoir au moins lu « l’apport des vaccinations à la santé publique » avant de prétendre vouloir vacciner ses semblables. Tous les dirigeants sanitaires du monde devraient connaître par coeur « Vaccination, les vérités indésirables » avant d’imaginer pouvoir imposer une vaccination de masse. Mais voilà, les uns préfèrent savoir sans savoir et les autres imposer au gré des fluctuations du CAC 40 et du Dow Jones des programmes sans foi ni loi…
Michel Georget, cher vieux magnifique professeur si doux, si intelligent mais si indomptable, je ne t’oublierai jamais, parole d’honneur.
« […] le nombre de mail que je lui avait envoyé et qui restait sans réponse »
=> Le nombre de mais que je lui avais envoyés et qui restaient sans réponse.
C’est très triste. Les autres membres de l’Aimsib ou d’ailleurs seront plus doués que moi pour rendre hommage, humainement et scientifiquement, à M. Georget,
Ma façon de le faire, c’est de signaler un groupe comme celui-ci : https://www.lonza.com/ et sûrement d’autres similaires, qui travaillent à la production de vaccins en essayant de prendre en compte les groupes HLA, pour tenter d’améliorer ces produits. C’est donc qu’il y a bien un problème de fiabilité des vaccins sur ce thème depuis le départ.
C’est dire à quel point M. Georget avait raison, depuis très longtemps, en insistant sur cette problématique là des vaccins. L’industrie y travaille pourtant en douce, sans que cela soit crié sur les toits, alors que lui informait inlassablement, précisément, scientifiquement, sur ce sujet.
Il reste pleins d’autres problématiques que M. Georget abordait, et maintenant M. de Lorgeril. Une raison de plus, parmi tant d’autres, de se plonger ou de se replonger dans ces écrits, et de pleurer ce départ.
En décembre 2017 j’avais vu Michel monter dans le même train que moi, en gare de Saint-Pierre des Corps. Nous allions à Paris, à une même réunion sur les vaccinations. Dans un café il me parlera de sa maladie, avec simplicité, courage et lucidité.
Cela faisait plus de 40 années que nous nous étions rencontrés à une autre réunion sur les vaccinations, le thème commun que nous partagions et qui a tenu une place considérable dans sa vie comme dans la mienne. Une passion commune en quelque sorte que nous abordions différemment certes mais qui ne pouvait lasser ni l’un ni l’autre.
Une fois à la retraite, sa recherche sur le sujet pourra prendre une autre dimension qui s’explicitera à travers ses ouvrages qui seront sans doute l’oeuvre de sa vie, une œuvre, un sacerdoce consacré à la recherche du Vrai et du Bien, à leur recherche illimitée, infinie même, sans jamais prétendre les avoir trouvés et que le temps serait venu de s’arrêter de les rechercher. Non, seules la maladie et la mort ont eu raison de sa volonté et de sa détermination.
Michel, tu fus un inébranlable pilier tenant haut et fort la dimension biologique et immunologique du vaccin et de la vaccination. Sur ce pilier nous pouvions nous appuyer en pensant que tu serais toujours là pour palier à nos carences dans ces domaines. Il nous faudra désormais assumer sans toi cette dimension incontournable. Tes écrits, tes conférences seront là pour nous guider.
Merci à toi Michel d’avoir beaucoup sacrifié pour réaliser tout cela pour nos enfants, nos petits enfants, les générations présentes et futures. MERCI !
Michel, je me souviens des 3 jours passés en 2015 à Barjac lors du séminaire CRIIGEN où l’on s’est rencontrés.
Ces jours où mes yeux se sont écarquillés devant son exposé.. je découvrais que je ne connaissais rien à l’immunologie et encore moins en vaccinologie .. J’avais quelques doutes mais là , Michel m’a ouvert les yeux et après , on ne peut plus les refermer… J’ai découvert un homme humble, doux et fort ( il en faut de la force pour résister aux attaques ) , franc, honnête et ouvert.
J’ai eu moi aussi mes dédicaces que je garde précieusement comme souvenir de cette amitié.
Merci Michel , que tu imprègnes de manière irrémédiable nos esprits ..
A dans une autre vie …
Un hommage magnifique et des commentaires du même acabit !
Ne suis pas scientifique mais je suis fière d’être membre de l’Aimsib qui m’a permis de découvrir les Michel et les autres.
Merci.
La stupéfaction de découvrir ce que tu avais écrit Michel (G) et que nous raconte si bien Michel (De L.) , je l’ai vécue en 2001, alors que je vivais encore en Martinique. « Vaccination, les vérités indésirables » fût « ma plus grande claque professionnelle » , pourtant habituée à remettre en cause ce que j’avais appris car animatrice de formation continue depuis plusieurs années. J’ai écrit à l’éditeur qui a transmis à l’auteur… et ce fut le début d’un magnifique compagnonnage, Michel, tu as répondu à mes centaines de questions, sobre, simple, ne cherchant jamais à convaincre , mais toujours juste , posant les bonnes questions qui font réfléchir.
Plus tard, quand j’ai encore pointé mon nez à une formation conventionnelle sur les vaccinations, avec mes questions dérangeantes, comme ils étaient tristes les soit-disant « experts » qui n’y connaissaient rien et ne savaient que répéter les poncifs mille fois entendus , ils n’avaient pas un centième de tes connaissances, et pas un millième de ton ouverture d’esprit et de ta capacité de réflexion ( j’ai été « gentiment » priée d’aller poser mes questions ailleurs) . Mon chemin de thérapeute venait de faire un virage à 180°.
Et depuis, tu as toujours répondu présent à toutes mes demandes d’intervention, des Antilles à la Seine et Marne, pour des médecins ou le grand public, avec toujours autant de pertinence.
Tu as été pour moi, un éveilleur de connaissance ou de conscience, comme on voudra, et pour cela, un immense MERCI.
Et je suis heureuse de voir que le flambeau est repris.
Claire
Michel, nous nous sommes rencontré qu’une seule fois lors de notre congrès de Lyon en 2018, J’ai été impressionné par ton savoir sur le système immunitaire et les vaccins, par ton humilité et ta gentillesse, Tu répondais à toutes les questions avec simplicité et calme même si celle-ci étaient agressives; la force tranquille.
Je regrette de ne pas avoir pu échanger plus avec toi mais tu es parti trop tôt.
L’AIMSIB perd un membre éminent au moment où l’actualité sur les vaccins n’a jamais été aussi intense mais nous mettrons tout en oeuvre pour que ton travail et tes recherches ne se perdent pas.
Bon vent
Lorsque j’ai découvert que le vaccin contre l’hépatite b m’avait déclenché la SEP, je ne savais pas ni vers qui me tourner ni comment faire pour me renseigner. Je n’avais pas de doute. J’ai effectué des recherches et le premier livre vers lequel je me suis tourné est son livre: vaccination les vérités indésirables. J’ai lu toute la présentation des vaccins, de leur fabrication et la partie sur la vaccination hépatite B. je ne voulais pas lire les autres chapitres; je m’en voulais presque de me dire que ce que je venais de découvrir était terrible. Que je n’étais pas seule. Et puis , j’ai eu la chance de le rencontrer lors d’une assemblée générale du REVAHB, à laquelle il était invité. J’étais heureuse. Je découvrais celui qui m’avait tant appris. Son exposé était passionnant. J’ai eu la chance de l’accompagner au ministère le 9 septembre 2017. Face à nous nous avions des personnes incapables de comprendre un traître mot de de ce que nous racontions. Il a effectivement fait un exposé très clair. Très juste, comme à son habitude, il était passionnant. Malheureusement, les dés étaient déjà jetés et ils ne nous ont pas écoutés.
Il était déjà fatigué et malade. Je l’ai revu au congrès de l’AIMSIB au mois de janvier 2018 à Lyon. Nous nous écrivions de temps en temps lorsque j’avais une question.
Michel va nous manquer. Sa clairvoyance, son travail minutieux, la clarté de ses présentations, mais aussi sa gentillesse, toujours là pour aider, sa persévérance et ses connaissances et son humilité.
Michel nous manquera à tous, alors que le combat devient difficile, ne pas considérer un vaccin autrement que comme un médicament capable de provoquer des effets secondaires .
J’aimerai qu’un jour son combat permette à chacun de faire les choix éclairés .
Je pense à sa femme et à sa fille que j’ai eu la chance de rencontrer au congrès de l’AIMSIB à Lyon.
Michel tu resteras dans nos cœurs à tous, car tu étais un véritable exemple. Puisses tu aujourd’hui reposer en paix car tu le mérites pleinement.
Merci pour tout ce que tu as fait pour nous tous, pour les enfants et pour leurs familles.
A l’unisson.
Impossible d’oublier ce visage reflétant la bonté, l’humilité …
Une certaine bonhomie quoi!
Je m’associe à vos hommages. Merci à tous.
Un Grand Homme………………………
On ne peux parler de vaccination sans avoir lu les livres de Michel Georget. C’est pour moi la base incontournable lorsqu’on veut se pencher sur ce sujet de manière sérieuse. Je suis vraiment admirative du travail qu’il a réalisé : reprendre toutes les données à la source est réellement un travail titanesque, mais nécessaire pour se faire une idée parfaitement objective du sujet. Aucun jugement a priori, juste une analyse pertinente basée sur des données scientifiques et des faits. Un travail remarquable : merci Michel ! Tes livres devraient figurer dans toutes les facultés de médecine !
Mais au-delà de son travail exemplaire sur la vaccination, je retiendrai aussi ma rencontre avec cet homme en janvier 2018 au congrès de l’AIMSIB : sa simplicité, sa gentillesse, son humilité et sa bienveillance. Un homme vrai.
Merci Michel d’avoir mis à contribution ton savoir et ta bienveillance au service de santé de tous…
Merci beaucoup pour votre livre que j’ai lu peu après la naissance de mon fils. Que des évidences! J’achète les anciennes versions que les gens revendent et je les offre à tous les médecins que je connais.
L’Eglise de Vaccinologie sera bientôt considérée comme une secte nuisible.
Continuez tous à promouvoir les idées de Michel Georget auprès du maximum de personnes.
L’association Tiss-Santé m’avait invité hier soir 22 mars 2019 pour parler de la vaccination car j’avais mis beaucoup d’articles la concernant sur mon blog. Quand elle m’a sollicité pour cette intervention, j’ai spontanément dit oui. Puis je me suis rendu-compte qu’il fallait que je sois relativement performant pour étayer mon intime conviction que la vaccination, ça se discutait.
C’est grâce au livre de Michel Georget « VACCINATIONS, les vérités indésirables », et ceux de Michel de Lorgeril que j’ai pu faire mon topo et apporter du nouveau à l’assistance qui m’a écouté dans un silence religieux car je pense qu’ils n’en croyaient pas leurs oreilles. Je n’ai jamais rencontré Michel Georget mais, voir ses conférences sur mon écran, lire ses livres, en avaient fait un être proche de mes convictions et de mon cœur. Je n’ai pas dit une phrase ce 22 mars sans penser à lui. Il faut faire connaître son travail, continuer sa parole, ne pas baisser les bras devant la malfaisance. Je sais que le docteur Michel de Lorgeril s’y emploie. Continuons avec lui? Je me permets de présenter toutes mes condoléances à son épouse, à sa famille et à ses proches.
After the death of his old friend, Michele Besso, Albert Einstein said “Now Besso has departed from this strange world a little ahead [avant] of me. That means nothing. People like [comme] us … know that the distinction between past, present and future is only a stubbornly [obstinée] persistent illusion.”
Je salue respectueusement le travail monumental et fondamental effectué par M. Michel Georget dans le domaine des vaccinations. Je salue les qualités impressionnantes de l’homme parmi lesquelles le courage inextinguible, la détermination indéfectible et la patience inépuisable.
Que sa famille sache que, partout dans le monde, des personnes curieuses et réceptives ont vu leur vie profondément transformée par la lecture des livres de M. Michel Georget.
Comme beaucoup d’autres, je mesure pleinement le privilège qui a été celui de ma famille de bénéficier de ses analyses.
Que sa famille reçoive l’expression de ma reconnaissance, de ma gratitude et de mon admiration.
Respectueusement,
Une voix qui va nous manquer, surtout à l’heure où un autre Michel, mais un bien triste sire celui-là, appelle les médias à censurer systématiquement toute critique de la politique vaccinaliste actuelle. La concordance des dates, et l’abîme de médiatisation, entre la disparition de Michel Georget et la saillie de Michel Cymes est d’ailleurs frappante ….
Merci Mr Georget d’avoir apporté aux professionnels de santé et au grand public des faits établis, de la documentation, de l’esprit critique, alors que la faculté, les sociétés “savantes”, les pouvoirs publics et les médias sont d’un dogmatisme et d’un obscurantisme trop souvent affligeants.
Dans la patrie de Pasteur, le bon sens, la réflexion et le pragmatisme en santé ne sont malheureusement pas l’apanage du plus grand nombre. On le voit actuellement avec les élites politiques, scientifiques et médicales. Notre époque est bien sombre et vous avez été une lumière Mr Georget. Vous avez, avec votre simplicité et votre rigueur de raisonnement, fait honneur à l’intelligence humaine !
Merci !
Lui, déjà.
Je reste là,
bloquée sur la page qui nous en informe
et que je vais finir par connaître par coeur,
à la faire défiler, en boucle.
Tant de droiture, de courage, d’abnégation, d’honnêteté, de savoir, de simplicité, nanti de la seule fougue des hussards de la République d’antan qui éduquaient les jeunes pour que les lendemains soient mieux dans leurs mains : quel beau personnage il était ! Il incarnait un espoir pour le futur puisque les maîtres de l’a-République d’à présent cherchent à ne plus permettre l’émergence de gens aussi cultivés et objectifs. Qu’ils soient remerciés ceux qui prendront la relève de M. Goerget.
En hommage à cet homme remarquable, je continuerai à offrir son livre, pour le bien commun, pour le respect du cerveau de l’homme, pour une ode à ce que peut être l’intelligence, pour rescaper l’humain d’un génocide probable, pour que la science soit, pour que vive… la vie.
Je crois que c’est ce qu’il apprécierait le plus.
De la part d’une simple lectrice,
Quel bel hommage, quels commentaires respectueux qui me font regretter d’autant plus de n’ avoir pas pu connaître Monsieur Michel Georget car c’ était un grand Monsieur. Toutes mes condoléances à ses proches. RIP.
Cher Michel Georget,
je vous écris un peu comme si vous étiez encore parmi nous, souriant, plein de bienveillance et de bonhommie pour nous expliquer le système immunitaire et les vaccins. Vous faisiez partie de ces personnes qui sont si lumineuses dans leurs explications qu’on a l’impression d’être intelligent après les avoir écoutées.
Je vous avais rencontré, comme beaucoup d’entre nous, au Parc floral ou à Lyon et je m’étais précipité sur vos livres et les avais lu avec » gourmandise et même goinfrerie » conscient de découvrir un monde merveilleux: la connaissance, les réalités les références et le véritable travail de bénédictin que cela avait été pour vous.
Et dire que la TOTALITE de mes confrères n’a jamais entendu parler de vos livres qui devraient obligatoirement faire partie du programme des études médicales.
Nous avions eu une longue conversation à Lyon autour d’un verre et j’avais pu apprécier vos qualités humaines et votre modestie.
L’AIMSIB perd beaucoup plus qu’un de ses membres !
Vous nous manquerez mon cher Michel!!
Je reste encore ému devant cette nouvelle qui nous jette en désarroi. Je ne connaissais Michel Georget que par quelques vidéos, dans lesquelles on entrevoyait d’évidence toutes les qualités humaines du personnage que retracent tous vos hommages si touchants. Et quel pédagogue ! pour un peu avec un tel professeur on retournerait avec bonheur sur les bancs de l’université pour nous abreuver de sa science.
Que son œuvre dure évidemment, nul doute qu’elle résistera aux vilains virus malveillants.
Peut-être faudrait-il pour qu’elle prospère, avec l’accord des ayant-droits, songer à traduire ou faire traduire ses livres, en anglais déjà pour commencer.
La question des vaccins dépassent nos cantons, nos frontières, elle est devenu internationale, et presque une machine de guerre.psychologique.
L’OMS bien sûr, mais aussi
l’IFFIm (International Finance Facility for Immunisation) https://www.iffim.org/
Gavi, the Vaccine Alliance https://www.gavi.org/
l’ ESWI European Scientific Working group on Influenza http://eswi.org/
le GLOBAL HEALTH SECURITY AGENDA https://www.ghsagenda.org/home
Je suis incapable de me rappeler quand j’ai rencontré Michel pour la première fois. Sans doute avant l’an 2000 et sans doute à Grenoble ou à Lyon à l’occasion d’une de ses conférences. Je venais tout juste de perdre mon mari des suites terribles d’une vaccination hépatite B dont il n’avait aucun besoin mais que notre généraliste nous avait présentée comme « anodine » et indispensable en ce temps où le virus allait sauter sur nous à chaque coin de rue. Jeunes retraités, nous étions une cible, nous allions voyager et le pire était à craindre. Les suites ? Une SLA + un syndrome de Gougerot Sjögren + une démyélinisation. Paralysie progressive, deux ans et demi de survie, et quelle survie ! et partout le déni : « Madame, ça n’a aucun rapport ». Je savais bien que non. J’avais bien compris, sans être médecin, qu’on ne déclare pas autant de maladies d’un coup, surtout quand on est en pleine santé. C’était cela le pire : le mensonge. C’est alors que Michel m’a ouvert les yeux. Enfin quelqu’un qui m’expliquait. C’était évident : on avait tué mon mari en affolant son système immunitaire. Il avait exactement le groupe HLA le plus propice à ce type d’accident. Forte de cette assurance, juste avant sa mort, dans le service SLA de la Salpêtrière, au chevet même de mon mari et devant l’aréopage du Maître et de ses jeunes internes, j’avais posé la question. La réponse vaut son pesant d’or : « C’est quoi, ce chiffre ? Un numéro minéralogique ? » et tous s’étaient gaussés de moi. C’est dire combien Michel dépassait de loin, par son savoir, ces jeunes futurs médecins incultes et même le grand patron qui les formait, qui n’est pas intervenu et qui pourtant passait pour le neurologue le plus averti de France, connu même internationalement. C’était en 1999. Les années qui ont suivi ont été celles de l’amitié. J’allais à ses conférences. Il m’est arrivé de le loger, d’obtenir qu’il soit invité en région Rhône-Alpes où il est venu plusieurs fois malgré la distance depuis Chambray-lès-Tours où il vivait, cultivant avec amour son jardin. Je savais sa maladie, celle qui l’a emporté, mais il souffrait aussi de coliques néphrétiques très douloureuses et contre lesquelles on ne savait que faire pour le soulager. Je voudrais donc dire son courage et sa générosité car rien ne l’a arrêté dans sa volonté d’éclairer les autres. A cet égard, c’était un vrai pédagogue, clair, accessible pour des gens comme moi. Peut-être son regret a-t-il été de ne pas rencontrer assez d’opposants ni assez de médecins qu’il aurait voulu éclairer. La raison en est très simple : s’ils étaient rares à ses conférences, c’est qu’ils n’avaient pas d’arguments à lui opposer. Il lui arrivait pourtant d’en rencontrer, telle cette jeune pédiatre qui l’avait déçu : « Vous avez certainement raison, mais… je vais quand même continuer ma petite médecine comme avant ! » A Genève où sévissait Claire-Anne Siegrist, la seule réponse qui lui avait été faite : « la faculté de Genève ne cautionne pas les propos tenus ici ». Barrage, sans plus. Il aurait pu se décourager devant le mur de l’indifférence, voire de l’hostilité, et ça lui arrivé parfois, mais il ne s’est jamais laissé abattre. Quand j’ai appris son décès, je n’ai pas été surprise, son âge (proche du mien) et sa maladie ne lui laissaient pas beaucoup de chance, mais j’ai été très affectée et je le suis toujours. Je garde précieusement ses livres. Il m’en envoyait un à chaque édition ou réédition avec toujours une dédicace extrêmement sensible. Il va rester parmi nous. Nous nous réfèrerons toujours à lui. Je suis sûre qu’un jour ou l’autre il sera reconnu comme un des meilleurs connaisseurs des questions vaccinales. Mon seul regret, c’est qu’il est parti trop tôt.
Adieu Docteur Georget,
Merci infiniment de l’homme que vous avez été, pour moi une très belle âme. Elles sont peu nombreuses aujourd’hui, surtout parmi les hommes érudits comme celui que vous étiez.
Il parait que personne n’est irremplaçable et moi je pense le contraire. Vous êtes irremplaçable, chacun de ceux qui aime le monde et les humains et est capable d’aider, d’accompagner, de se remettre en cause, de témoigner…de soigner, est un être unique, irremplaçable.
Mes pensées à ceux qui vous connaissaient dans votre intimité et pour lesquels votre absence sera immensément douloureuse.
Le Professeur Michel Georget m’était connu par ses travaux et j’ai une fois eu la joie et l’honneur de le rencontrer à l’occasion d’un colloque à Melun, organisé par le Dr Claire Delval.
Je partage totalement les idées de ce grand savant, étant moi-même convaincu de la dangerosité des vaccinations.
Je lui rends un profond hommage et m’associe à la douleur de ses proches.
Dr Hervé Staub
Je suis bien triste d’apprendre ce départ. Nous perdons un excellent puit de science. Heureusement les écrits restent et nous garderons précieusement vos écrits si chers à notre savoir. Bien heureuse de vous avoir parlé un jour.