Michel Georget rejoint à notre demande le Comité Scientifique de l’AIMSIB et nous en sommes naturellement très fiers.

Biologiste et enseignant hors-pair pour les classes préparatoires auprès des Grandes Ecoles Biologiques pendant de très nombreuses années, il y représentera le premier scientifique non médecin et rejoindra le Dr Michel de Lorgeril, le Pr Philippe Even et le Dr Uffe Ravsnkov. Agrégé de Sciences Naturelles depuis 1957, son intérêt pour le sujet vaccinal fut traduit dans les faits par la parution de deux ouvrages qui font autorité, « Vaccinations, les vérités indésirables » puis « L’ apport des vaccinations à la Santé Publique » aux Editions Dangles.

Michel Georget s’est forgé au fil du temps une réputation mondiale considérable grâce à ses travaux relatifs aux relations entre HLA et aléa vaccinal.

Il souhaite nous communiquer ceci…

      Biologiste de formation, ancien professeur de biologie des classes préparatoires aux grandes écoles, je suis heureux de solliciter mon adhésion à l’AIMSIB.

Depuis plus de deux siècles, la vaccination est considérée comme un élément majeur de santé publique. Depuis la disparition de la variole, elle vise à éradiquer les autres maladies.

Cette stratégie repose sur une base erronée car la variole n’a pas disparu grâce aux campagnes de vaccinations mais par la mise en œuvre de la stratégie de « surveillance-endiguement ».

L’impact des vaccinations en santé publique est devenu un véritable mythe avec deux facettes  :

  1. Les vaccinations ont jugulé les épidémies
  2. Elles sont sans danger.

La réalité est bien différente. Pour pouvoir en juger, il faut considérer deux rapports fondamentaux :

  • Le rapport bénéfices/risques en terme de santé;
  • Le rapport coût/bénéfice au point de vue financier.

L’intérêt pour la santé publique voudrait que le premier rapport soit nettement positif et le second nettement négatif. Malheureusement, il n’en est rien.

Les bénéfices, s’ils existent, sont exagérés et les risques toujours minorés et souvent ignorés. Quant à l’aspect financier, la politique vaccinale est un gouffre pour la Sécurité sociale.

D’autre part, les vaccinations de masse présentent plusieurs inconvénients majeurs qui en font au contraire une menace pour la santé publique

  • Les vaccinations sont des préparations standard, administrées à des sujets tous différents,
  • Les vaccinations massives déplacent l’âge habituel des maladies infantiles vers les très jeunes nourrissons et les adultes pour lesquels les maladies sont beaucoup plus graves ;
  • Elles déplacent l’équilibre écologique microbien au profit d’autres souches ;
  • Elles peuvent déclencher, entre autres, des maladies auto-immunes diverses, des allergies voire des cancers.

Il est regrettable que l’on n’ait pas attaché plus d’importance à l’opinion de l’O.M.S. qui déclarait il y a quarante ans : « le développement économique a probablement contribué plus efficacement que la santé publique et la médecine à réduire la mortalité ».

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